Cher journal : Ode à l’écriture
Cher compagnon en papier, tu as dissipé une part enfouie de mon mal-être invisible au monde et qui m'a valu une grande part de phobie sociale. On a cheminé ensemble dans les moments les plus terribles, mes mains tremblantes qui gribouillaient toujours avec frénésie comme dans l'urgence de vider mon cœur outragé, de le panser et surtout de l'apaiser.