Sois sage, ô cœur malade et misérable
Quand dans le ressac de mes battements affolés, retentit le cri d'une passion de déraison, je lutte contre des penchants désordonnés, qui m'offriraient à la gêne et à l'humiliation.
J'ai le cerveau qui ploie sous un iceberg de souvenirs désastreux, dont la partie émergée me rappelle combien avoir des ''amis'' était si affreux. Près d'eux, plus rien ne m'engage à me comporter communément, et à cause d'eux maintenant, tout m'inspire à agir différemment.
Comme chaque dimanche je t'ai si fort dans la peau, imbriquée comme on ne pourrait s'extraire à nos maux.